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carte des sites et monuments de la bataille de waterloo

Chapelle Royale

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 4 km

Monument aux Belges

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 300 m

Ferme de la Papelotte

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 - le syndicat d'initiative : 5 km 
 - le Mémorial/Butte du Lion: 1,5 km

Monument Gordon

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 300 m

Monument des Hanovriens

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 300 m

Ferme de la Haie-Sainte

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 500 m

Ferme de la Belle-Alliance

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 2 km

Monument aux Prussiens

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 2,5 km

Eglise de Plancenoit

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Eglise de Braine l'Alleud

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 2,5 km

Aigle Blessé et colonne Victor Hugo

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Mémorial de Waterloo 1815

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Musée Wellington

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Ferme de Mont-st-Jean

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 300 m

Ferme d'Hougoumont

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Dernier quartier general de Napoleon

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 - le Mémorial/Butte du Lion: 5 km

Legende

  1. Chapelle Royale
  2. Monument aux Belges
  3. Ferme de la Papelotte
  4. Monument Gordon
  5. Monument des Hanovriens
  6. Ferme de la Haie-Sainte
  7. Ferme de la Belle-Alliance
  8. Monument Prussien
  9. Église de Plancenoit
  10. Église de Braine l'Alleud
  11. Aigle Blessé et colonne Victor Hugo

LES SITES

  • Le Mémorial de Waterloo 1815

    Le site :

    Le Lion de Waterloo : est un monument haut de 40 mètres, érigé entre 1823 et 1826 par le roi des Pays-Bas à l’endroit présumé où son fils, le Prince d´Orange, fut blessé le 18 juin. Le tertre est surmonté d’un colossal lion symbolisant la victoire alliée. On y accède par un escalier de 226 marches.

    Le Panorama : candidat au classement du Patrimoine de l´UNESCO, ce vaste bâtiment circulaire abrite une fresque gigantesque, peinte en 1912 pour célébrer le premier centenaire de la bataille. La toile de 110m de long et de 12m de haut représente de manière spectaculaire un moment clé de la bataille, ce 18 juin vers 16h30 : la charge de cavalerie française et la résistance alliée.

    Le Musée du Mémorial : se visite avec un audioguide (compter de 1h à 1h30). Construit pour le 200ème anniversaire de la bataille, le musée offre une belle immersion et une riche illustration historique de la période allant de la révolution française à la bataille de Waterloo. Pour tous détails additionnels, voir : visite du musée du Mémorial.

    Notre visite :

    La visite du Mémorial de Waterloo 1815 est une visite-clé qui, avec le guide, vous donnera une vision à la fois détaillée et globale de la bataille, repositionnée dans son cadre européen.

    La butte du Lion : le guide vous accompagnera au sommet pour vous raconter la bataille, l’importance stratégique de la topographie des lieux, la position et le déploiement des troupes dans les champs tout autour, les charges de cavalerie française, les carrés alliés, la stratégie des uns et des autres, les atouts, les erreurs, les revers, les anecdotes, les monuments…

    Le Panorama : les commentaires de la toile par le guide, qui relèvera les liens avec la réalité du champ de bataille, permettront d´apprécier tout l´intérêt historique, pictural et patrimonial de cette saisissante évocation.

    Et l’histoire dans tout ça ? Le guide prendra le temps, à l’aide de cartes murales ou en extérieur, de comprendre avec vous ce qui a mené l’Europe à cette effrayante bataille, et pourquoi elle s’est déroulée en Belgique. Les premiers jours de la campagne, c'est à dire les journées des 15, 16 et 17 juin, seront également évoqués

    : Visite du site en 1h ou 1h30, visite combinée avec d’autres sites en 3h.
  • Le musée Wellington

    LE SITE :

    Le Musée Wellington se trouve actuellement dans l’ancienne auberge Bodenghien, bâtiment datant de 1705. En 1815, cette vaste construction servant de relais de poste aux chevaux est choisie par l’Etat-major britannique pour y loger les services du quartier général. Dès lors, le Duc de Wellington, commandant en chef des armées alliées, y passe les nuits des 17 et 18 juin 1815. C’est également en ces lieux que le Duc rédige le communiqué de victoire. Par des souvenirs authentiques, des armes, des gravures, les 14 salles du musée retracent les événements de l’époque et perpétuent le souvenir des nations et des combattants qui participèrent à l’affrontement.

    NOTRE VISITE :

    Dans la cour de l’auberge, le guide vous fera revivre la campagne de Belgique de 1815, ainsi que les détails de la bataille de Waterloo. Il rappellera les faits historiques entourant la présence du Duc de Wellington à Waterloo.

    La visite du musée restitue l’histoire au départ du traité de Vienne et la décision par la 7ème coalition d’envahir la France en juillet 1815. La présence de Wellington et du prussien Blücher en Belgique sera commentée, ainsi que les évènement des 14 et 15 juin. Les différentes salles du musée vous emmèneront à la découverte du Duc lui-même, ainsi que ses collaborateurs directs et des armées alliées. De plus, trois salles sont dédiées respectivement aux armées française, prussienne et hollando-belge.  On y comprendra pourquoi la bataille du 18 juin 1815 est connue sous le nom de «bataille de Waterloo» alors qu’elle ne s’est pas déroulée dans cette commune. On y évoquera également le passage des successeurs du Duc de Wellington dans ce lieu de mémoire.

    Enfin, la visite éventuelle de la chapelle Royale illustrera également la vie dans le hameau de Waterloo un siècle avant la bataille, et le rôle joué par cette ville dans le développement d’une activité touristique importante entre l’Angleterre et le champ de bataille.

    : Visite du site en 1h ou 1h30 (avec la visite de la Chapelle Royale), visite combinée avec d’autres sites en 3h. 
  • La ferme de Mont-Saint-Jean

    Le site :

    Au moyen-âge déjà, la ferme de Mont-Saint-Jean servit d’hôpital puisqu’elle fut donnée (comme en témoigne une charte d’Henry 1er en 1219) par la famille de Wasseige à l’ordre des Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, futur ordre de Malte, qui avait pour vocation de prodiguer des soins aux indigents, quelles que fussent leurs croyances.

    L’importance du site de Mont-Saint-Jean lors de la bataille de 1815 est indéniable puisque Napoléon lui-même s’y référera par la suite en la nommant «Bataille de Mont-Saint-Jean» et non pas «Bataille de Waterloo». Au cours de la bataille, la ferme joua un rôle clef puisque le 17 juin 1815, le Duc de Wellington décida d’y établir son hôpital de campagne.

    Sous les ordres du Deputy Inspector Gunning du Royal Army Medical Corps, plus de 6000 combattants y furent soignés, dont les colonels DeLancey et Gordon, Lord Fitzroy Somerset ainsi que le Prince Guillaume d’Orange, souffrant d’une blessure à l’épaule. Un musée de soins aux blessés illustre l’activité de cet hôpital de fortune. La ferme abrite une brasserie, une distillerie et un magasin de produits régionaux.

    Notre visite :

    Dans la magnifique cour de la ferme (ou dans une dépendance s’il pleut…) le guide vous expliquera l’histoire des bâtiments. Il vous fera revivre les moments les plus forts de l’arrivée des troupes alliées le 17 juin au soir, ainsi que l’activité comme hôpital de campagne pendant la journée des combats. Une introduction avec une carte restituera la ferme dans le cadre du champ de bataille.

    Le rôle actuel de la ferme sera également présenté, avec sa micro-brasserie, sa distillerie et son magasin de produits régionaux. Une dégustation de bière sur place est également possible.

    Enfin, le guide vous accompagnera dans le musée des soins aux blessés, et répondra à vos questions concernant les pertes en hommes et en chevaux le jour de la bataille, et le sort réservé aux blessés.

    : Visite du site en 1h, visite combinée avec d’autres sites en 3h.
  • La ferme de Hougoumont

    Le site :

    Cette ferme fortifiée fut le cadre de combats meurtriers. Position avancée protégeant l'aile droite des alliés au même titre que la ferme de la Haie-Sainte et la ferme de Papelotte, Napoléon y déclencha l'action le 18 juin vers 11h30. Ce qui ne devait être au départ qu'une manœuvre de diversion est devenu le point le plus violent de la bataille. Les assauts français y furent terribles et vains. On s'y battit férocement jusque vers 19 heures. Le verger et le jardin changèrent sept fois de mains tandis que les bâtiments restèrent aux mains des 1 500 soldats de la coalition.

    Notre visite :

    Dans la magnifique cour de la ferme (ou dans une dépendance s’il pleut…) le guide vous fera revivre les moments les plus forts de la bataille autour de la ferme. Il rappellera les faits historiques, en les comparant aux descriptions allégoriques de Victor Hugo dans les Misérables.

    La scénographie moderne présentée dans la grange insistera sur l’importance stratégique de la position de la ferme dans le système de défense élaboré par Wellington.

    Enfin, le tour guidé des principaux éléments entourant la cour dans laquelle se sont situés les combats donnera une idée claire de la symbolique du lieu, depuis le jour de la bataille jusqu’à aujourd’hui. Seront commentés le monument de la porte Nord (inauguré par SAR le prince Charles d’Angleterre en 2015), la chapelle ayant survécu à l’incendie de la maison principale, et le verger, pris et perdu à plusieurs reprises par les régiments français de Jérome Bonaparte.


    : Visite du site en 1h ou visite combinée avec d’autres sites en 3h.

  • Le dernier QG de Napoléon

    LE SITE :

    Le Dernier Quartier Général de Napoléon est situé dans la ferme du caillou, à 5 kms au sud du champ de bataille. C’est là que Napoléon passa la nuit du 17 juin 1815, entouré de son escorte personnelle ; Il y reçut les maréchaux Soult et Ney, ainsi que de nombreux Généraux le matin du 18 juin.

    On y trouve un ossuaire, un des rares squelettes de soldat trouvé sur le champ de bataille, quelques souvenirs de l’empereur, son lit de camp ainsi qu’une collection d’armes de l’époque. 

    NOTRE VISITE :

    Le guide vous accompagnera à travers la ferme, et son verger. Il expliquera son histoire, les activités les 17 et 18 juin, ainsi que de nombreuses anecdotes avant et pendant la bataille. Une introduction avec une carte resituera la ferme dans le cadre du champ de bataille.

    Le convoi des effets personnels de l’Empereur ayant été retardé en route, vous y apprendrez comment Napoléon y a passé la nuit. Ensuite, le guide vous fera revivre le calvaire des troupes avançant à marche forcée, dans la pluie et après les combats du 16 juin aux Quatre-Bras. Les soldats forcés de Bivouaquer dans les champs bordant la route, et sans autre ressource que le pillage des fermes environnantes pour se nourrir.

    : Visite du site en 1h, visite combinée avec d’autres sites en 3h. 

LES MONUMENTS

  • Chapelle royale

    La «Chapelle royale» fut édifiée entre 1687 et 1690 à l'initiative du gouverneur des Pays-Bas, le marquis de Gastañaga, en l'honneur du roi d'Espagne Charles II, dans l'espoir qu'il puisse avoir un fils. Un siècle après son inauguration, elle fut vendue comme bien national et rachetée en 1806 par des waterlootois et transformée en église paroissiale.

    C'est un édifice baroque de plan quadrilobé, combinant la brique rouge pour le gros-oeuvre; le calcaire gréseux pour le soubassement, le péristyle, l'encadrement des baies et les bandeaux saillants; le calcaire pour l'emmarchement, les parties saillantes des frontons, les bases et chapiteaux de colonnes; enfin le cuivre de la toiture.

    Sa visite est incluse dans la visite de 1,5 heure du Musée Wellington

  • Monument aux Belges

    Inauguré en Septembre 1914, pour le centenaire de la bataille, ce monument rappelle le sacrifice des belges en juin 1815. Il porte une inscription : «Aux Belges morts le XVIII juin MDCCCXV en combattant pour la défense du drapeau et l’honneur des armes» .

    4200 belges et 4 généraux ont effectivement participés à la bataille de Waterloo. Le contingent Hollando-Belge était joint à l’armée anglaise dénommée «Anglo-Néerlandaise». Les Belges perdirent 1200 hommes, tués ou blessés.

    Rares furent les Belges qui rallièrent l’armée française. On cite le cas du lieutenant Demulder, qui a l’honneur d’avoir une stèle sur le chemin des vertes bornes, près du Lion. Mort en chargeant avec les cuirassiers français de Ney, à quelques kilomètres de sa maison natale de Nivelles, il avait guerroyé dans toute l’Europe avec la Grande Armée.

  • Ferme de la Papelotte (ne se visite pas )

    La ferme de la Papelotte, située à 2 kms à l’ouest de la butte du Lion, fut un point d’appui essentiel couvrant le flanc gauche des troupes alliées. Elle était occupée par la compagnie légère du 3ème bataillon du régiment de Nassau, sous le commandement du prince Bernard de Saxe-Weimar.

    Attaquée par le 1er corps français de d’Erlon (division Durutte), elle fut prise et reprise deux fois.

    C’est de ce côté que le 1er corps prussien de von Zieten déboucha sur le champ de bataille vers 19h30, décidant de la défaite française.

  • Monument Gordon

    Le Lieutenant-Colonel Gordon, âgé de 29 ans en 1815, faisait partie du 3ème régiment des gardes à pied et remplissait les fonctions d’aide de camp de Wellington. Vers 18 heure, au moment de la prise de la ferme de la Haie Sainte, un boulet lui fracassa la jambe. Transporté au quartier Général de Wellington à Waterloo, il y fut amputé et mourut peu après l’opération.

    Sa famille, une des plus anciennes d’Ecosse, fit ériger ce monument en 1817. Son corps repose dans le mémorial des Anglais morts à Waterloo, érigé au cimetière d’Evère.

  • Monument des Hanovriens

    Cette pyramide tronquée fut érigée en 1818 par les officiers de la légion anglo-germanique des Hanovriens, dite KGL (King’s German Legion). Le roi d’Angleterre Georges III, étant également souverain de Hanovre, avait ouvert sa porte aux officiers et bataillons hanovriens qui ne voulaient pas se mettre sous les ordres de Napoléon lorsque les troupes françaises envahirent le nord de l’Allemagne. Ces troupes avaient été formées et équipées par les Anglais, et formaient des bataillons d’élites. A Waterloo, leur rôle était notamment de tenir la ferme de la Haie Sainte.

    Quand le verger de la ferme fût envahi par les Français du Maréchal Ney, les Hanovriens se réfugièrent dans les bâtiments, refusant de quitter la place malgré les ordres de Wellington. Presque tous périrent dans les attaques et l’incendie de la ferme.

  • Ferme de la Haie-Sainte (ne se visite)

    La ferme de la Haie Sainte était l’une des clefs de la position de défense de Wellington. On s’y acharna, tant dans l’attaque que dans la défense. Défendue par le bataillon du Major George Baring de la Kings German Legion, elle sera prise par le Maréchal Ney vers 18h30. Les défenseurs étaient équipés de fusils «Baker Rifle» à canon rayé, permettant une plus grande précision de tir à une plus distance (200 mètres). Ils pouvaient ainsi mieux atteindre sélectivement les officiers français, reconnaissables à leurs uniformes. Sur 1000 défenseurs, 42 seulement échappèrent à la mort.

  • Ferme de la Belle-Alliance (ne se visite pas)

    Cette petite ferme, construite en 1765 et cabaret en 1815, fut le centre de la position française.

    Le 17 juin 1815, vers 18h30, l’avant-garde française, à la poursuite des Alliés en retraite vers Mont-Saint-Jean, arriva à hauteur de la Belle Alliance. Napoléon s’y arrêta, donna des ordres et repartit vers la ferme du Caillou vers 20 heures.

    Le 18 juin, à partir de midi, Napoléon prit ses quartiers à proximité de cette ferme, d’où il pouvait observer tout le champ de bataille.

    Au soir de la bataille, Wellington et Blücher s’y rencontrèrent, un peu par hasard, et dans l’obscurité tombante. De là, Blücher donna l’ordre de poursuivre, presser et harceler les Français dans leur fuite, ce qui leur permit de mettre la main sur la berline de Napoléon qui ne pouvait pas franchir le pont de Genappe.

  • Monument des Prussiens

    Le monument prussien, au nord du village de Plancenoit, se compose d’une flèche gothique en «fer de Berlin» et d’un soubassement en pierre bleue. Il est tourné vers la Prusse. Ce monument, érigé en 1819, est l’œuvre de l’architecte Schinkel. On trouve ce modèle de flèche dans les villes qui ont marqué l’histoire des victoires prussiennes.

    En 1832, les soldats français se rendant, à la demande de Léopold 1er, au siège d’Anvers, abattirent la croix, et le monument aurait disparu sans l’intervention du Maréchal Gérard qui sauva l’œuvre in extremis. Après cet épisode, on y ajouta une grille pour le protéger.

  • Eglise de Plancenoit

    L’Eglise de Plancenoit, dédiée à Ste Catherine, fut détruite lors des combats du 18 juin 1815, et reconstruite en 1856. De violents affrontements eurent lieu autour et dans le cimetière. Les troupes prussiennes du IVème corps de von Bülow tentèrent d’encercler les 4000 soldats de la jeune garde (Général Duhesme) qui défendaient vaillamment le village. La dernière attaque française, fut menée par le Général Pelet qui s’écria «A moi, chasseurs, sauvons l’Aigle ou mourons autour d’elle».

    L’Eglise abrite de nombreuses plaques commémoratives de soldats français tués dans le village.

  • Eglise de Braine l'Alleud

    L’Eglise St Etienne à Braine l’Alleud servit d’hôpital de secours aux blessés de la bataille de Waterloo dès le 19 juin 1815.

    Des blessés de toutes nationalités y furent soignés et purent compter sur le dévouement des médecins et des femmes (religieuses et laïques) de Braine l'Alleud et des environs.

  • Monument à l'aigle blessé et Colonne Victor Hugo

    Le monument à l'aigle blessé fut érigé